| 
        
	  
             
           Focus
        | L'Irlande grand perdant du Brexit 
 C'est ce que montrent les simulations du modèle d’équilibre général MIRAGE-e. Le premier scénario considéré correspond à un « Hard Brexit », c'est-à-dire à un retour aux droits de douane de la Nation la Plus Favorisée (NPF) et à une divergence réglementaire substantielle entre l’UE27 et le Royaume-Uni. Le second est celui d’un « Soft Brexit », dans lequel un accord de libre-échange (qui maintient l’ensemble des droits de douane à zéro) est signé, mais une légère divergence réglementaire accroît tout de même les coûts au commerce. Quel que soit le scénario, l’Irlande serait le pays européen le plus touché, tant dans l’agroalimentaire que dans l’industrie manufacturière, comme le montre le graphique ci-dessus via les effets sur la valeur ajoutée agroalimentaire. Dans le cas d’un Hard Brexit, les exportations irlandaises seraient pénalisées sur l’ensemble des marchés, européens et étrangers. Sur le marché domestique irlandais, la production de biens industriels serait en mesure de tirer profit de la protection (qu’elle soit tarifaire ou non) vis-à-vis du Royaume-Uni, mais pas les produits agroalimentaires.
 Cecilia Bellora, Charlotte Emlinger, Jean Fouré, Houssein Guimbard >>>
 
 | 
  
       publicationsLeft behind by protectionism: learning from the Bush administration's steel tariffsSébastien Jean, Ariell Reshef
 
 
L’industrie automobile au cœur de la troisième révolution industrielleMichel Fouquin
 
 
Le bilan commercial du Brexit dans l’agriculture, négatif mais contrastéCecilia Bellora, Charlotte Emlinger, Jean Fouré, Houssein Guimbard
 
 
Répartition de la valeur ajoutée entre revenus du travail et du capital : de quoi parle-t-on ?Sophie Piton, Antoine Vatan
 
 
L’agriculture, un secteur très exposé dans la négociation des relations commerciales post-BrexitCecilia Bellora, Charlotte Emlinger, Jean Fouré, Houssein Guimbard
 
 
Relations économiques et commerciales entre les États-Unis et la Chine : le ton monteJean-François Boittin
 
 
 
          Immigrant entrepreneurs, diasporas and exportsMassimiliano Bratti, Luca De Benedictis, Gianluca Santoni
 
 
Uncertainty and the Macroeconomy: Evidence from an Uncertainty Composite IndicatorAmélie Charles, Olivier Darné, Fabien Tripier
 
 
Breaking Away from Icebreakers: The Effect of Melting Distances on Trade and WelfareJules Hugot, Camilo Umana Dajud
 
 
Corruption for SalesMathieu Couttenier, Farid Toubal
 
 
Hierarchy of Trade and Sequential ExportingVincent Boitier, Antoine Vatan
 
 
Regional Integration and Informal Trade in Africa: Evidence from Benin's BordersCristina Mitaritonna, Sami Bensassi, Joachim Jarreau
 
 
Immigration and Electoral Support for the Far Left and the Far RightAnthony Edo, Yvonne Giesing, Jonathan Öztunc, Panu Poutvaara
 
 
  
        L'inflation, un retour impossible ?   Evénementsavec Olivier GARNIER, Directeur général, Études et Relations internationales, Banque de France6 février 2018Building a Better IMF: Lessons from Independent Evaluations of IMF Performance
 with Prakash LOUNGANI, Advisor & Senior Personnel Manager, Independent Evaluation Office, IMF8 février 2018Theories and Methods in Macroeconomics (T2M) - 22nd Conference15 - 16 mars, 2018“Israel and the World Economy – The Power of Globalization”
 with Professor Assaf Razin, Tel Aviv University 17 mai 201818th Doctoral Meetings in International Trade and International Finance15 - 16 juin, 2018
 | 
            
	
          
             
               
        
          
           Faits & chiffres | 
 
 33% of household appliances producers surveyed by the USITC responded that the 2002 steel safeguard measures led them to relocate U.S. steel-consuming facilities abroad. 19% in furniture and hardware, 12% among steel fabricators. These safeguards were the latest use of Section 201 of U.S. trade law, before it was invoked by Donald Trump on January 22 to apply tariffs on imported washing machines and solar panels.
 Sébastien Jean & Ariell Reshef
 >>>
 
 
 
 | 
   
           Opinion| 
 Les incertitudes de la politique américaine et leurs dangers
 
 À la fin de l’année 2017, la réforme fiscale américaine a été adoptée. Le gouvernement Trump y voit le début d’une ère nouvelle. Des macroéconomistes influents pensent, au contraire, que les déséquilibres de l’économie américaine vont s’aggraver à cause de l’exacerbation d’inégalités déjà extrêmes. La Fed anticipe un effet temporaire et très limité de croissance, rendant plus difficile le pilotage des taux d’intérêt. Quant aux acteurs financiers, ils sont perplexes devant les valorisations insolites des marchés mondiaux, jointes à des niveaux d’endettement élevés.
 Michel Aglietta & Virginie Coudert
 >>>
 
 
 
 | 
 
   Rester informé 
   Votre avis nous interesse
   
 ISSN: 1255-7072 
Directeur de publication : Antoine Bouët 
Rédacteur en chef : Dominique Pianelli
 |